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Sir John Ambrose Fleming
 
 
 
DOCUMENTS:  
Lettre  a Marconi 21 mai 1902
 
 
 
  




 ....'Vous pouvez être tout à fait sûr qu'une mention généreuse de mon travail pour vous a fait à l'établissement royal me satisfera non seulement et mes amis, mais réclamerez une reconnaissance également publique sur ma partie du fait que cet accomplissement est essentiellement dû à vos inventions. J'aurai l'occasion à une conférence que je dois pour donner à notre université Soiree tenu ici pendant la semaine de couronnement, et je pourrai être guidé ce qui à dire par la ligne prise par vous dans votre conférence. J'ai tout à fait appris que vous devez être prudent en ce moment dans vos expressions publiques, et il n'y a aucun doute que votre succès a fait à beaucoup d'adversaires le désir de prendre le degré de solvabilité de vous et de l'attribuer à quelqu'un d'autre. Je ne l'ai pas considéré recommandé pour que je dise n'importe quoi opportun des articles de Thompson parce que j'ai estimé que leurs affaires délicates très peuvent devoir être discutées un jour dans une cour de loi et moins le dit au sujet d'eux le meilleur. Cela cependant n'a pas besoin de vous empêcher et je de reconnaître librement d'une façon générale nos parts de parent dans le travail dans lequel nous sommes engagés et vous peut compter sur moi que je ne manquerai pas de ne rembourser aucune bonté que vous pouvez me montrer à l'occasion la plus tôt possible de la manière vous méritez.



This manuscript letter was sent to Marconi by Ambrose Fleming in reply to correspondence received. The letter thanks Marconi for acknowledging Fleming's work on the development of a station at Poldhu.
The letter continues:

'You may be quite sure that a generous mention of my work for you made at the Royal Institution will not only please me and my friends, but will call for an equally public acknowledgement on my part of the fact that this achievement is essentially due to your inventions.
I shall have the opportunity at a lecture I am to give at our College Soiree held here during the Coronation week, and I shall be able to be guided what to say by the line taken by you in your lecture. I quite understand that you have to be cautious just now in your public utterances, and there is no doubt that your success has made many opponents desire to take the credit from you and ascribe it to some one else. I did not consider it advisable for me to say anything apropos of Thompson's articles because I felt that their very delicate matters may have to be discussed one day in a Court of Law and the less said about them the better. That however need not prevent you and me from freely acknowledging in general terms our relative shares in the work in which we are both engaged and you may rely on me that I shall not fail to repay any kindness you may show me at the earliest possible occasion in the way you deserve.'